Transformation digitale

Solutions & Démarche ForLead

ForLead intervient de façon pragmatique auprès de ses clients et de leurs équipes.


Après avoir identifié avec vous la problématique puis défini ensemble votre besoin.
Nous construisons pour vous votre solution.

La révolution digitale oblige les entreprises à revoir et réorganiser leurs process et organisation de façon profonde et transversale.
Cette adaptation de l’entreprise est aujourd’hui vitale pour faire face aux bouleversements de son environnement. Cela passe par définir, construire et déployer une stratégie digitale qui permet d’accompagner la croissance de l’entreprise.

L’équipe de ForLead s’engage à vos côtés et vous accompagne pour bâtir une stratégie de développement qui vous ressemble.

Construction de votre stratégie digitale
Assistance à maîtrise d’ouvrage (AMOA)
Analyse et conseil dans l’urbanisation de vos systèmes d’information
Design de vos processus métiers
Accompagner vos équipes dans ces changements
Pilotage de projets complexes
Intégration d’ERP pour la gestion de votre entreprise (commandes, factures, comptabilité, stocks…)
Intégration de CRM pour la gestion de votre relation client (pistes, prospects, devis, appels…)
Intégration d’outils de gestion et de la planification de votre production
Intégration d’outils de collaboration entre vos équipes et vos clients pour fluidifier l’information

Consulting, Transformation digitale

PME et Transformation Digitale
 
Le temps digital :

11 heures, c’est la consommation individuelle journalière des services numériques. Difficile de passer à côté de ce chiffre lorsque nous consacrons la moitié de notre journée à consulter vidéo, articles, films, applications. Il est donc difficile pour les entreprises d’ignorer ce phénomène si elles veulent rester compétitives.

Ce phénomène n’est d’ailleurs pas réservé à un segment de marché ou une taille particulière d’entreprise. L’impact est général.

Transformation Digitale, Transition Numérique…, peu importe le nom donné à ces nouveaux usages de l’information au sein des entreprises. Ce qui est certain, c’est que de nouvelles attentes ont émergé dans les directions métiers des entreprises. Cela contraint les Directions Informatiques à s’adapter et à faire, elles aussi leur évolution !

PME digitale, pourquoi ?

Les PME sont elles aussi impactées par ces changements, car l’ouverture des systèmes informatiques de leurs clients, de leurs partenaires, les mènent à plusieurs interrogations.

 

 

Ne vous laissez pas déborder, reprenons les choses en main !

D’une part il faut répondre rapidement à des questions d’ordre techniques pour fluidifier les échanges de données. Avec la nécessité de récupérer des données externes à l’entreprise, de les traiter en les enrichissant de ses propres informations, de penser une architecture souple qui permet à l’entreprise une agilité, d’automatiser les échanges … En un mot, de penser l’architecture du système d’information de l’entreprise.

D’autre part il est impératif de se poser la question de la stratégie numérique de l’entreprise. L’impact de cette révolution ne saurait être que technique. Il transforme durablement et en profondeur les métiers, les postes de travail, les missions. La prise en compte de cette évolution permet à l’entreprise d’anticiper des difficultés d’adaptation aux nouvelles missions et de réduire certains impacts négatifs sur ses équipes.

Innover dans ses processus en s’appuyant sur le digital est aujourd’hui un impératif de survie pour les entreprises.

Il est donc important que l’accompagnement de la transformation se fasse simultanément sur les aspects humains et techniques pour garantir la réussite.

Prenons contact et étudions la question.

Solutions

Nos Solutions

 

ForLead intervient de façon pragmatique auprès de ses clients et de leurs équipes.
Après avoir identifié avec vous la problématique puis défini ensemble votre besoin.
Nous construisons pour vous votre solution.

La révolution digitale oblige les entreprises à revoir et réorganiser leurs process et organisation de façon profonde et transversale.
Cette adaptation de l’entreprise est aujourd’hui vitale pour faire face aux bouleversements de son environnement. Cela passe par définir, construire et déployer une stratégie digitale qui permet d’accompagner la croissance de l’entreprise.

L’équipe de ForLead s’engage à vos côtés et vous accompagne pour bâtir une stratégie de développement qui vous ressemble.

Construction de votre stratégie digitale
Assistance à maîtrise d’ouvrage (AMOA)
Analyse et conseil dans l’urbanisation de vos systèmes d’information
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Accompagner vos équipes dans ces changements
Pilotage de projets complexes
Intégration d’ERP pour la gestion de votre entreprise (commandes, factures, comptabilité, stocks…)
Intégration de CRM pour la gestion de votre relation client (pistes, prospects, devis, appels…)
Intégration d’outils de gestion et de la planification de votre production
Intégration d’outils de collaboration entre vos équipes et vos clients pour fluidifier l’information

Solutions

ERP

Le terme ERP vient de l’anglais « Enterprise Ressource Planning ».  ERP a été traduit en français par l’acronyme PGI (Progiciel de Gestion Intégré) et se définit comme un groupe de modules relié à une base de données unique qui améliore considérablement le partage d’informations à l’échelle de l’entreprise.

L’ERP est un progiciel qui permet de gérer l’ensemble des processus opérationnels d’une entreprise en intégrant plusieurs fonctions de gestion dans un seul et même système :

  • La gestion commerciale et factures,
  • La gestion comptable et financière,
  • La gestion des stocks,
  • La gestion des ressources humaines, Pointages, Congés, Notes de frais…,
  • La gestion des fournisseurs,
  • La gestion des processus, des droits d’accès,
  • La gestion de l’e-commerce,

Une solution logicielle ERP doit couvrir au moins deux principes fondamentaux qui sont les suivants :

  • être architecturé sous forme de modules indépendants mais parfaitement compatibles sur une base de données unique et commune.
  • L’usage d’un moteur de Workflow permet de définir l’ensemble des tâches d’un processus et de gérer leur réalisation dans tous les modules.

L’ERP représente la « colonne vertébrale » d’une entreprise. Il doit apporter une solution métier sur-mesure en corrélation avec le cœur de métier de la structure et les processus déjà en place.

En complément d’un ERP et dans le cadre d’une démarche de satisfaction client, de nombreuses entreprises se dotent aussi d’un logiciel de CRM. Cet outil leur permet de mettre en commun et de maximiser la connaissance d’un client donné et ainsi de mieux comprendre, anticiper et gérer ses besoins.

Vous hésitez encore ?                                                                          

Vous retrouvez ci-dessous un ou plusieurs objectifs de votre stratégie d’entreprise :

  • améliorer la productivité de vos salariés
  • suivre votre tableau de bord même en déplacement
  • gérer un accroissement de votre activité
  • mettre en place une nouvelle organisation suite à une croissance externe
  • simplifier les processus
  • responsabiliser vos managers

… alors la mise en place d’un ERP est votre prochain projet !

Pourquoi faire appel à ForLead

Chaque entreprise est unique, sa stratégie doit l’être aussi ! ForLead élabore avec vous une stratégie de transformation numérique adaptée à votre activité et votre organisation.

Prenez contact !

Solutions

CRM

 

Efficace et rapide à mettre en place, un CRM (gestion de la relation client) doit vous apporter l’agilité pour répondre au mieux aux demandes de vos clients. Il peut être le premier jalon de votre ERP (voir la fiche).

Il doit être un levier pour fédérer vos collaborateurs et insuffler un nouvel esprit d’équipe.

En centralisant les échanges avec vos clients, vous pouvez véritablement être proactif et devancer leurs demandes tout en augmentant la satisfaction client.

Faites évoluer votre gestion de la relation client pour gagnez en notoriété et en confiance !

 

Pourquoi faire appel à ForLead

Chaque entreprise est unique, sa stratégie doit l’être aussi ! ForLead élabore avec vous une stratégie de transformation numérique adaptée à votre activité et votre organisation.

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Transformation digitale, Coaching d'équipe, Coaching professionnel

Pourquoi les entreprises basculent dans l’immobilisme (et comment l’éviter)

Multiplier les comités et les responsables nuit souvent à l’efficacité des entreprises. Le coach Pierre Blanc-Sahnoun examine ce processus.

Savez-vous pourquoi il existe dans de très nombreuses entreprises un comité exécutif (comex) qui dirige et un comité de direction (codir) qui exécute ? En toute logique, cela devrait être le contraire, non ? Si l’on étudie l’archéologie de la gouvernance, on découvre pourtant qu’à l’origine le codir était aux manettes. Puis, sous l’influence du lent ramollissement politique qui accompagne la croissance des organisations à mesure qu’elles gagnent en complexité, le comité s’étoffait de gens gagnant leur siège au seul motif du politiquement correct.

Au risque de devenir arthritique, incapable de prendre des décisions, paralysé par l’hypocrisie et la langue de coton ; malgré tous les séminaires de team building dans des hôtels cinq étoiles pour réapprendre à se parler entre jaunes, verts, rouges, extravertis, introvertis et addict workers. Des clans s’étaient formés et des jeux d’alliance, développés, rendant impossible toute discussion efficace. La moitié des participants, dépassés par l’enjeu des discussions, passaient leur temps sur leur PC à rédiger leur courrier. Déserté par le pouvoir, l’organe de direction de l’entreprise ne dirigeait plus rien, les décisions étant prises par deux ou trois personnes autour du DG sur un coin de table, hors réunions et en buvant une bière.

C’est alors qu’à la suite d’un changement de stratégie, ou de l’intervention d’un coach un peu plus radical que les autres, le DG décide de regrouper autour de lui ces deux ou trois personnes et de transférer officiellement la gouvernance à ce petit groupe. Pas question de supprimer pour autant l’ancienne entité ; on la rebaptisera comité de direction “élargi” (on en profitera pour inviter encore plus de membres, puisqu’il n’y a plus d’enjeu), et ce sera une caisse de résonance qui se réunira moins fréquemment, mais permettra de discuter les décisions du comex avec les principaux managers opérationnels. Et voilà comment les rôles s’inversent.

“Le travail s’étale de façon à occuper le temps disponible pour son achèvement.”, de Cyril Northcote Parkinson (1909-1993), économiste.

Ce petit exemple est une illustration de la maladie de Parkinson des entreprises. Pas de celle que le médecin du même nom la découverte au début du XIXè siècle, mais de celle de l’économiste Cyril Northcote Parkinson (1909- 1993), auteur de la fameuse loi qui porte son nom : l’augmentation du nombre des collaborateurs demeure constante, que le volume du travail à faire s’accroisse, diminue, ou même se trouve réduit à néant. L’économiste expliquait que chaque manager souhaite multiplier ses subordonnés plutôt que ses rivaux, et que plus les collaborateurs sont nombreux dans une équipe, plus ils se créent mutuellement du travail supplémentaire. Tant pis pour l’efficacité ! Une loi qui s’applique aussi au sein des cellules dirigeantes. Ainsi, expliquer à un manager qu’il n’a rien à faire dans le comité de direction semble tout bonnement impossible. Il est politiquement moins coûteux de laisser l’instance devenir doucement inefficace et de transposer le centre de décision ailleurs. Ça vous rappelle quelque chose ? Il est peut-être temps de lire ou de relire Parkinson. 

par Pierre Blanc-Sahnoun, coach et conseil de dirigeants.

Source: Capital.fr

Transformation digitale, Coaching d'équipe, Coaching professionnel, Consulting, Formation, Non classé, Systèmes d'information

5 chiffres clés pour comprendre les enjeux de la transformation digitale

Reprenant une étude de Harris interactive de septembre 2015, le site blog.gutenberg-technology.com affirme que « les entreprises vont devoir préparer non seulement l’irruption de nouvelles compétences au sein de leurs équipes, mais aussi la transformation des métiers existants et des façons de travailler et d’innover ».

Il donne aussi 5 chiffres clés pour comprendre les enjeux de la transformation digitale :

7 salariés sur 10 pensent que la transformation digitale est en cours.
Ils sont 70 % à déclarer que la transformation digitale de leur secteur d’activité est en cours, avec un tournant d’ici à deux ans. 1 sur 2 à penser que le digital a d’ores et déjà modifié leur fonction.

87 % des salariés estiment que la digitalisation des entreprises constitue une opportunité pour leur entreprise
La montée en puissance du numérique permet de simplifier et de réduire les coûts globaux des entreprises. Les technologies numériques sont considérées comme vecteur de différenciation dans des secteurs de plus en plus concurrentiels.

63 % des salariés estiment que la stratégie digitale de leur entreprise est mal expliquée par les dirigeants.
L’une des grandes tendances de cette étude est la grande disparité de perception des salariés et des dirigeants. Les salariés pointent le manque d’initiative mise en place.

27 % des salariés se sentent tout à fait à l’aise avec le digital.
L’un des défis les plus importants consiste à combler le fossé de compétences provoqué par l’arrivée du numérique. Ils considèrent qu’à la vitesse à laquelle évolue l’économie, peu de chance d’être à l’aise sans une réelle stratégie d’entreprise.

90 % des salariés pensent qu’il faut avant tout faire évoluer l’offre de formation
61% des salariés ne savent pas vraiment si leur entreprise propose ce type de formation ou sont sûrs qu’elle n’en propose pas quand 62% des RH affirment le contraire. Dernière illustration d’une confusion ambiante sur les sujets du numérique au sein des entreprises.

Systèmes d'information, Coaching d'équipe, Coaching professionnel, Consulting, Formation, Non classé, Transformation digitale

Etat de la transformation digitale des PME en France

Le rapport Deloitte de décembre 2016 commandé par Facebook sur la transformation digitale des PME, identifie un fossé digital entre les PME et les consommateurs. Ce rapport pointe un écart important entre l’usage du digital par les entreprises françaises et celui de leurs clients.

En France, 7 consommateurs sur 10 achètent des produits sur Internet et paient directement en ligne. Dans le même temps, seule une grande entreprise sur 2 et une PME sur 8 dispose d’une solution e-commerce. Du coup, les consommateurs français se tournent vers les entreprises étrangères. Les Français sont six fois plus susceptibles que les Allemands d’avoir recours à l’importation de produits étrangers lors de leurs achats sur Internet.

En synthèse, ce rapport nous mène aux éléments suivants :
-Ces dernières années, le e-commerce a contribué à 40 % de la croissance totale des ventes en France. Les ventes en ligne ont crû près de 20 fois plus rapidement que les ventes globalement.

-Les TPE/PME françaises sont moins matures que leurs homologues européens en termes de digitalisation – 2 PME sur 3 possèdent un site internet (contre 3 sur 4 en moyenne dans l’UE et plus de 9 sur 10 en Finlande).

-Les PME françaises sont moins digitalisées que leurs clients – 7 Français sur 10 achètent et paient en ligne, alors qu’1 TPE-PME française sur 8 vend sur Internet.

-Les PME digitalisées sont chefs de file pour l’export. Elles sont trois fois et demi plus susceptibles d’exporter que la moyenne des PME françaises.

-Les PME issues de l’industrie du tourisme sont pionnières en matière de digitalisation.

-Plus de la moitié (53%) des PME françaises perçoivent le manque de savoir-faire technique comme un frein à l’intégration d’outils digitaux.

Coaching professionnel, Coaching d'équipe, Consulting, Formation, Non classé, Systèmes d'information, Transformation digitale

L’impact du coaching sur le savoir-être et savoir-faire du dirigeant

Le processus de coaching est la prise de conscience de l’entrepreneur qu’il est nécessaire d’engager un dialogue serein en dehors des contraintes liées aux responsabilités de chef d’entreprise. Le chef d’entreprise qui décide de s’investir dans un processus de coaching réalise un travail sur lui-même qui sera la source d’un déploiement de ses talents, de ses performances et… d’un meilleur savoir-être et savoir-faire.

Les étapes du coaching

La première étape d’une démarche de coaching est la découverte de son véritable objectif. Le dirigeant prend ensuite conscience des ressources disponibles ou à acquérir pour réaliser l’objectif qu’il souhaite réaliser. Au cours des séances de coaching, le dirigeant déploie ses capacités et les met à son service, en accord avec son système de valeurs, de croyances et de son éthique.

Les bienfaits du coaching pour les chefs d’entreprise

Le premier bénéficiaire du coaching est le dirigeant lui-même : il prend la mesure de sa responsabilité dans tous ses actes et paroles et mesure leur impact sur l’environnement. Il va donc devoir trouver les techniques qui lui conviennent pour prendre le recul sur les situations et diminuer l’impact de ses émotions, notamment dans ses prises de décision. Les dirigeants coachés vont souvent manifester une amélioration importante dans leur communication orale et comportementale. Ils apprennent à accueillir les propos de leurs interlocuteurs grâce à la pratique de l’écoute active qui évite les conflits inutiles.

Sortir du piège de la solitude

Un chef d’entreprise peut s’enfermer et là il existe un grand risque d’échec. Il limite ses réflexions à un petit groupe de gens immuable, alors que l’objectif d’un coaching est de vous conduire à développer des relations avec un nombre d’individus virtuellement illimité. La solitude vous protège des risques liés à l’inconnu, quand l’ouverture et la remise en question vous permet de saisir les opportunités que vous n’auriez jamais eues en restant isolé. Grâce au coaching, vous allez devoir vous aventurer en dehors de votre zone de confort ! Une fois votre engagement pris, pratiquez un coaching intelligent, à savoir ciblé et stratégique, qui vous permettra d’obtenir un retour sur investissement considérable en temps, en argent et en énergie.

De coaché à coach

Certains dirigeants vont jusqu’à suivre eux-mêmes une formation de coach. Ceux-ci développent un management extrêmement motivant pour leurs équipes car ils vont, autant que possible, être à l’écoute de leurs collaborateurs. Résultat : ils vont définir des plans d’action qui auront été réfléchis et imaginés par toute leur équipe, en fonction des compétences et envies de chacun.

Le cas des managers et autres cadres

Pour les responsables de services, managers, chefs d’équipes… envoyés une ou deux journées en coaching imposé, les apports ne seront pas aussi spectaculaires. La raison en est que ce ne sont pas eux qui sont à l’origine de la décision d’effectuer une telle démarche. Bien souvent d’ailleurs ils abordent les séances en pensant assister à une formation et non pour se faire coacher. Or, la différence est fondamentale : le formateur transmet son savoir alors que le coach offre la possibilité à ses clients de révéler eux-mêmes ce qu’ils sont, ce qu’ils veulent et comment ils souhaitent agir pour l’obtenir.

Les bienfaits pour les managers

Les managers coachés vont développer un meilleur relationnel à l’autre. Ils limitent, par une communication orale et comportementale adéquate, les éventuels conflits. Ils vont également apprendre à convaincre et fédérer leurs auditeurs lors de leur prise de parole en public. Ceux-ci vont également favoriser la synergie de leurs équipes et la réussite des projets en mettant en place des procédures validées par tous et non pas imposées par la direction. Enfin, par un travail sur la compréhension du rôle de chacun, les managers qui ont été coachés réussiront mieux à motiver leurs collaborateurs à respecter les délais.

Source : L’impact du coaching sur le savoir-être et savoir-faire du dirigeant

Formation, Coaching d'équipe, Coaching professionnel, Consulting, Non classé, Systèmes d'information, Transformation digitale

Le coaching est-il amené à prendre la place de la formation ?

Les coachs sont de plus en plus demandés, que ce soit dans la sphère personnelle ou privée, et notamment dans les entreprises. Que ce soit dans le domaine du développement personnel, de la communication, la mode est au coaching ; preuve en est, la démocratisation de la profession de coach (bien-être, mode, décoration…) Cela remet même en cause la formation qui reste l’un des modes de fonctionnement prisé par les entreprises. Le coaching est-il amené à prendre la place de la formation ?

Former en priorité ?

Il n’est pas évident de différencier la formation et le coaching. Ces deux pratiques ayant de nombreux points communs. Le coaching permet de développer les compétences et le potentiel d’un employé, là où la formation va consister à transmettre des connaissances et des techniques pour améliorer les compétences du salarié. En proposant une formation à ses employés, l’entreprise prend le pari de s’appuyer sur des collaborateurs déjà présents dans l’entreprise. Le but de proposer des formations est de favoriser la mobilité interne pour réduire les coûts de recrutement. C’est également le moyen de créer un vivier de talents et de fidéliser les salariés. Si les employés s’investissent, développent et renforcent la culture de l’entreprise, les deux parties sont gagnantes puisque chacune d’entre elle y trouve des intérêts et des bénéfices.

Savoir sur quoi former

Le choix des formations doit être mûrement réfléchi en fonction de leur personnalité et non de leur titre de poste. Qu’est-ce qui les motive ? Qu’est-ce qui les intéresse ? Qu’est-ce qui les met en confort ou en inconfort ? Il est primordial pour les entreprises de prendre en compte le savoir-être pour donner aux collaborateurs l’envie de continuer à s’épanouir dans leur travail. Il faut communiquer en amont sur les plans de formations car cela va permettre de pouvoir anticiper ou prévenir des problématiques. La formation est vue comme une solution plus réfléchie aux besoins et attentes des salariés. Là où le coaching peut être considéré comme une solution à un problème donné. Si un salarié éprouve des difficultés à s’exprimer et qu’il souhaite être formé à cela, l’entreprise doit être en mesure, grâce à la formation, de pouvoir transmettre des connaissances au salarié afin de s’améliorer dans ce domaine. Le coach, lui, va amener son expertise, potentiellement une fois le problème survenu et pourra accompagner le salarié dans une approche plus personnalisée.

Un accompagnement continu

La formation peut donc amener le salarié à aller vers ce qu’il souhaite, il ne faut pas le forcer. L’entreprise doit être à l’écoute, mais aussi être là pour l’accompagner ensuite. Il ne suffit pas de former pour former. Après une cession de formation, le collaborateur aura le sentiment d’avoir été entendu et ressortira plus déterminé, plus motivé. Mais la formation ne sera efficace qui si l’employé met en œuvre ce qu’il y a appris. Il faut donc, par la suite, poursuivre, en étroite collaboration, le travail effectué lors de la formation.

Le coach comme support

Très souvent, le coach a été vu comme une solution d’urgence à un problème donné. Le constat n’est pas aussi simple. Le coach va permettre d’accompagner le salarié pour progresser assez rapidement au niveau professionnel, mais aussi sur son savoir-être. Que ce soit sur un individu, sur tout le collectif voire même sur un dirigeant, le coaching va permettre de motiver et de faire un réel travail sur la personnalité. Les forces, les faiblesses, comment s’améliorer à l’oral ou comment mieux gérer le stress par exemple. Le coach va même pouvoir être un support sur lequel s’appuyer après une formation pour poursuivre l’amélioration des performances au quotidien.

Peu importe le choix effectué par les entreprises, l’important est de mettre la personnalité de chaque salarié au cœur du processus de formation ou de coaching. Si le coaching semble prendre de plus en plus d’importance au sein des entreprises, la formation a encore de beaux jours devant elle. Encore faut-il savoir l’utiliser à bon escient.

Source : Le coaching est-il amené à prendre la place de la formation ? – Focus RH

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